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One year to escape

Un gamin pauvre dans un pays pauvre, dans un pays pauvre.
Un monde totalement dominé par le chaos et la corruption.

Que pourrais-t-il gagner dans ce monde à l’agonie sans fin ?

 

Continuité internationale :

Là ou il n’y a plus de fôret, là ou la température ne permet pas de vivre dehors, les personnes ont été beaucoup plus virulente. Le stop consomption devint une mode, le but ? Rester au minimum de consomation jusqu’à ce que les plus grosses entreprises fasses faillite. Le prix de l’imobilier implosa ou il faisait bon vivre. Les voitures étaient boycoté, même les voitures électriques. Le metavers allaient litéralement sauver la nature en nous rendant de plus en plus connecté.

Nourriture :

Le rouge et jaune devint vert et bleu sur les restaurant rapide.
des campagnes de publicités gigantesque pour redonner envie aux gens de manger autrement, mais il était trop tard, plus personne ne voulait vivre comme avant, et tous finirent par oublier cette époque du hamburger.

Vêtement :
Organique, Durable, Artisanales et fait par mamie.
Voici les grandes lignes des nouveaux codes, on avait peu de vêtement mais ces derniers allait durer très longtemps, des t-shirt de coton léger aux ourlée de cuirs fait mains. Il suffisait d’apporter les matériaux, ou les payer sur place. Les gens étaient payés en nourriture, en herbes médicinales ou en « bon services » où chaque jours de travails correspondait à un prix de mains d’oeuvres journalier fixe, après une certaines accumulation de ces jours, le travailleur pouvait réclamer des choses bien plus conséquentes et difficile à obtenir. Bien qu’il pouvait aussi réclamer à tout moment son solde en espèce, mais en leurs proposant cette solutions les personnes faisaient une grimaces ecoeurante comme si l’on avait fait reniflé une viande avarié.      

Traffic de drogues :
Les laboratoires étaient devennu si courrant dans le fonctionnement de la cité qu’elle était considérer comme légale auprès des habitants. Les substances psychoactives étaient utilisées dans un très grand nombre de rituel variés et faisaient partie de la nouvelle économie du continent sud-américain. 

L’influence fut extrèmement grande auprès de l’occident, payant des sommes conséquentes pour des retraites spirituelle reconstructrice. Il ne suffisait pas de deux semaines, mais de trois mois minimum pour embrasser un semblant de nouvelle vie sur lequels sont cerveaux se baserait. L’argent fournit permetait d’acheter de nouvelle terre, des panneaux solaires et maintenir l’accès à internet. 

Une vie simple

———————————

Un prêtre athéniens découvre un ancien sage grecques vivant en Hermite plusieurs siècle après les chrétiens.
Il va lui révéler tout ce que les chrétiens ont subtilisés aux anciennes civilisations.
Avant de faire cela il va falloir le convaincre, le bougre ne voit pas l’interet de partager cela à un jeune romain chrétien.
Un bon moment pour introduire la première leçon de platon sur la vérité, l’Atlantide.

 

Nourriture :

Le rouge et jaune devint vert et bleu sur les restaurant rapide.
des campagnes de publicités gigantesque pour redonner envie aux gens de manger autrement, mais il était trop tard, plus personne ne voulait vivre comme avant, et tous finirent par oublier cette époque du hamburger.

Vêtement :
Organique, Durable, Artisanales et fait par mamie.
Voici les grandes lignes des nouveaux codes, on avait peu de vêtement mais ces derniers allait durer très longtemps, des t-shirt de coton léger aux ourlée de cuirs fait mains. Il suffisait d’apporter les matériaux, ou les payer sur place. Les gens étaient payés en nourriture, en herbes médicinales ou en « bon services » où chaque jours de travails correspondait à un prix de mains d’oeuvres journalier fixe, après une certaines accumulation de ces jours, le travailleur pouvait réclamer des choses bien plus conséquentes et difficile à obtenir. Bien qu’il pouvait aussi réclamer à tout moment son solde en espèce, mais en leurs proposant cette solutions les personnes faisaient une grimaces ecoeurante comme si l’on avait fait reniflé une viande avarié.      

Traffic de drogues :
Les laboratoires étaient devennu si courrant dans le fonctionnement de la cité qu’elle était considérer comme légale auprès des habitants. Les substances psychoactives étaient utilisées dans un très grand nombre de rituel variés et faisaient partie de la nouvelle économie du continent sud-américain. 

L’influence fut extrèmement grande auprès de l’occident, payant des sommes conséquentes pour des retraites spirituelle reconstructrice. Il ne suffisait pas de deux semaines, mais de trois mois minimum pour embrasser un semblant de nouvelle vie sur lequels sont cerveaux se baserait. L’argent fournit permetait d’acheter de nouvelle terre, des panneaux solaires et maintenir l’accès à internet. 

Une vie simple

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Un prêtre athéniens découvre un ancien sage grecques vivant en Hermite plusieurs siècle après les chrétiens.
Il va lui révéler tout ce que les chrétiens ont subtilisés aux anciennes civilisations.
Avant de faire cela il va falloir le convaincre, le bougre ne voit pas l’interet de partager cela à un jeune romain chrétien.
Un bon moment pour introduire la première leçon de platon sur la vérité, l’Atlantide

LE LIEU et LE CONTEXTE :

Sur les bordures des bidons villes la fôret sauvage se mèlent aux accumulation d’ordure
Certains enfants disparaissent lors de la tombé de la nuit cherchant des trésors parmis les ordures.
Un mystère se cache dans cet forêt, en effet la foret commence à envelopper de plus en plus les bordures des bidons villes absorbant et comprimant tout sur son passage, comprimant le bitume, les escaliers etc…

Le bidon ville ressemble en certains endroit à une ville abandonnés dans la nature.
Certains voisins ne veulent rien dire mais plusieurs d’entre eux ont fuit leurs maisons vétuste pour partir ailleurs, comme si il avait peur de qqchoses qu’ils ne voulaient avoué.

Il y a eu des plaintes mais les autorités ne viennent déjà pas pour un meurtre alors pour des histoires de vaudou entre voisins pauvre même les gangs ne cherchent pas à comprendre ce qu’ils se passent.

Plusieurs personnes disparu, des enfants, certains sont revenu, complètement amorphe, hébété, muet, incapable de dire un mot sur ce qu’il s’est passé, sur ce qu’ils auraient pu voir.

 LE TURN OVER :

Rencontre avec le shaman, ou plutot avec une très belle fille amazone.
Attiré vers le rituel. Un rituel fait avec des plantes et du venin halucinogène.
Le but est de simuler la mort afin de renaitre totalement nouveau.

CONTINUITE NATIONALE :

Une fois que le gamin revint vers le village tout ce qui était revennu ont complètement changer et leurs comportements de vie fuent totalement différent.

Ce phénomène s’amplifia grandement, tous révèrent de vivre la mort pour revivre, vaincre la mort et voir la vie différement, un reset complet de l’esprit par le rituel. Weed, Hayaousca, champignon, tout ce qui pouvait altérer l »équilibre de l’esprit ouvrait les portes d’une conscience plus grande et permettaient à tous et à toutes de se défaire du superflux et du superficiel.

Seul l’éducation et l’agriculture comptait, le reste n’avait plus aucune importance, la mode, la malbouffe, les supermarchés, tout commença à se vider, en revanche les vendeurs de plantes étaient plat au as.

La majorité des médicaments se trouvaient dans la fôret ou dans les maisons, quelques uns cultivait des plantes médicinale chez eux… l’eau douce étaient récupérer, l’électricité n’était pas toujours nécéssaire.

Un méga centre commercial fut construit de force par dessus le bidon ville, et fut entièrement incendié puis laissé à l’abandon. ENfin les ruines furent repris par les locaux afin d’en faire un centre de culture et marché agricole.

des profs de maths enseigne aux élèves en reproduissant les schémas de la nature pour dessiner des environements approprié tandis que les arboristes enseignes la compatibilité et entres aides biologique entre les arbres.